jeudi 3 mai 2012

éloge de l'inutile...

La Bruyère - par Nicolas de Lagillière



Ma contemplative matinée, je l’ai passée à ça : lire Gide et La Bruyère, et cela est parfaitement inutile, puis écrire sur Gide et La Bruyère, parfaitement inutile, j’ai passé ma matinée à ça, à l’abri dans ma maison, lire et écrire. Et c’est plaisir, sérénité et bonheur. Pourquoi ? Parce que c’est inutile.



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